Avatar : La Voie de l’eau, le débriefing de M. Bobine
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Avatar : La Voie de l’eau de James Cameron ne s’est pas contenté d’exploser le box office, il a aussi suscité de nombreuses critiques assez violentes de la part d’une minorité très bruyante de détracteurs. Forcément, lorsque je me suis attelé à notre vidéo consacrée au scénario d’Avatar 2, je me doutais bien qu’elle provoquerait énormément de réactions, mais j’ai été malgré tout surpris que sur 600 commentaires, tous sont plutôt bienveillant, même s’ils n’adhèrent pas à mon propos !
J’ai donc décidé de faire un débriefing en live sur notre chaîne Twitch pour répondre à quelques unes de vos questions et de vos réactions. C’était un exercice un peu particulier parce que comme je suis le seul auteur de la vidéo, j’étais donc tout seul à causer d’Avatar : La Voie de l’eau et du cinéma de James Cameron et je vous avoue avoir eu un peu peur de ne plus rien avoir à dire au bout d’un quart d’heure… Mais de la même manière qu’il ne faut jamais parier contre James Cameron, il ne faut pas non plus sous-estimer ma capacité à parler du réalisateur d’Aliens, Terminator ou Titanic ! Au final, j’ai parlé pendant 3h40 et je n’ai même pas réussi à aborder tous les points que j’avais préparé… Mais malgré tout, je suis très content de ce live, et je remercie chaleureusement tout ceux qui ont discuté avec moi dans le chat durant toute la soirée !
Dans ce très long live (qui, je l’espère, n’est pas trop confus), je reviens rapidement sur la projection d’Avatar : La Voie de l’eau au cinéma le Vox à Mayenne, (qui nous avais déjà accueilli pour une séance de Matrix Resurrections), je reviens sur les raisons qui m’on conduit à réaliser cette vidéo consacrée à l’écriture scénaristique de James Cameron, j’évoque la ressortie de Titanic en 3D. La plus grosse partie du live est évidemment consacrée aux critiques récurrentes dont Avatar : La Voie de l’eau a fait l’objet dans les commentaires de ma vidéo et je termine cette longue soirée avec un extrait d’un très chouette texte du Film Crit’Hulk intitulé : « James Cameron and the Art of Fine-Tuned, So-Called Simplicity« .